Le chien tombe en arrêt devant un chantier, rue Hoche, tous près de l'école de Marion, mais rate la cour de la maternelle, où la fillette à pourtant, joué. Sa piste s'interrompt devant un grand bâtiment: la résidnce des Pradines, de l'autre côté du Boulevard de la Liberté, que l'enfant à donc bien dû traverser, après le départ de l'îlotier. L'immeuble fait le coin de la petite rue que Marion emprunte pour rejoindre son domicile, à 400 mètres de là. Le chien n'ira pas plus loin. Il ne faut pas lui en vouloir. << En ville, ils sont perdus, il y a trop d'odeurs>>, explique Roland Courdesses. Toute la journée et le lendemain encore, Policiers et Gendarmes ratissent le terrain. On les voit visiter des immeubles et des caves, fouiller les berge de la Garonne et les alentours du canal du Midi. survolés par un hélico. Ils font ouvrir le coffre des voitures quittant la ville. Le Vendredi, en fin d'après-midi, le parquet d'Agen ouvre une information judiciaire pour enlèvement. Là commence l'histoire d'une enquête fertile en rebondissements internet, mais malheureussement pas en découvertes. Le procureur est conciliant: Colette Lajoie, la juge pressentie pour mener l'instruction du dossier Marion, demande qu'on lui adjoigne une collègue. L'affaire s'avère difficile, sans indices, et son bureau croule sous les dossiers. Elles seront donc deux pour se relayer, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, si cela se révèle nécessaire. Maryse Le Men-Régnier est désignée en renfort. Policiers et Gendarmes se répartissent la tâche. Le commissariat engrange 400 procès-verbaux, la PJ double le chiffre, les Gendarmes le triplent. Ils contrôlent, notamment, plusieurs centaines de ceux qu'ils appellent les <
Sunday, July 1, 2007
Marion Wagon. Une enquete fertile en rebondissements .
Le chien tombe en arrêt devant un chantier, rue Hoche, tous près de l'école de Marion, mais rate la cour de la maternelle, où la fillette à pourtant, joué. Sa piste s'interrompt devant un grand bâtiment: la résidnce des Pradines, de l'autre côté du Boulevard de la Liberté, que l'enfant à donc bien dû traverser, après le départ de l'îlotier. L'immeuble fait le coin de la petite rue que Marion emprunte pour rejoindre son domicile, à 400 mètres de là. Le chien n'ira pas plus loin. Il ne faut pas lui en vouloir. << En ville, ils sont perdus, il y a trop d'odeurs>>, explique Roland Courdesses. Toute la journée et le lendemain encore, Policiers et Gendarmes ratissent le terrain. On les voit visiter des immeubles et des caves, fouiller les berge de la Garonne et les alentours du canal du Midi. survolés par un hélico. Ils font ouvrir le coffre des voitures quittant la ville. Le Vendredi, en fin d'après-midi, le parquet d'Agen ouvre une information judiciaire pour enlèvement. Là commence l'histoire d'une enquête fertile en rebondissements internet, mais malheureussement pas en découvertes. Le procureur est conciliant: Colette Lajoie, la juge pressentie pour mener l'instruction du dossier Marion, demande qu'on lui adjoigne une collègue. L'affaire s'avère difficile, sans indices, et son bureau croule sous les dossiers. Elles seront donc deux pour se relayer, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, si cela se révèle nécessaire. Maryse Le Men-Régnier est désignée en renfort. Policiers et Gendarmes se répartissent la tâche. Le commissariat engrange 400 procès-verbaux, la PJ double le chiffre, les Gendarmes le triplent. Ils contrôlent, notamment, plusieurs centaines de ceux qu'ils appellent les <
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